La joie bruyante de ces paysans bien nourris et bien vêtus, ne savait jouir d’elle-même, ne se croyait entière que lorsqu’ils criaient de toute la force de leurs poumons.
Et puis les filles sont presque toutes maquillées. Avant, on nous interdisait de rester sur le trottoir à bavarder, maintenant ils forment des groupes bruyants et ils fument cigarette sur cigarette et tout le monde trouve ça normal.