Celui-ci est fortement dépendant des exportations d'un seul produit, la noix de cajou, lesquelles ne permettent que de tirer peu, voire pas de valeur ajoutée.
Senwes, une ancienne coopérative sud-africaine convertie en société privée, est devenue l'un des plus gros opérateurs dont l'industrie de la noix de cajou au Mozambique.
Le différend aurait été réglé par le supérieur des intéressés, le président du comité qui réglemente les droits prélevés sur le coton et la noix de cajou.
Le Bureau a mis au point et continue d'améliorer du matériel adapté aux femmes comme par exemple des casse-noix et des éplucheurs de noix de cajou mécanisés.
À la place, les noix de cajou non traitées ont été exportées en Inde, où il semblerait qu'elles aient été décortiquées par des enfants astreints au travail.
En 2006, la commercialisation des noix de cajou, principal produit d'exportation du pays, a gravement souffert d'une hausse de 30 % du cours de référence fixé par le Gouvernement.
Les Forces nouvelles dans cette région ont exigé des droits semblables aux sociétés d'exploitation de la noix de cajou, étant donné que le comité susmentionné réglemente aussi ce produit.
En conséquence, des milliers de travailleurs ont perdu leur emploi dans les usines de traitement des noix de cajou, qui avaient été l'un des premiers employeurs du secteur privé.
Certaines communautés rurales semblent s'en être mieux sorties cette année, grâce à la mise en place de meilleurs mécanismes de commercialisation de la noix de cajou et du riz.
Le coton, le cacao, l'aluminium, les minerais, les noix de cajou et les vêtements de confection sont à cet égard parmi les produits présentant un intérêt immédiat pour les PMA.