La calomnie est définie habituellement comme une déclaration diffamatoire exprimée verbalement, et le libelle diffamatoire constitue une diffamation écrite.
Ces calomnies doivent être comprises dans le contexte des années Reagan et d'une poussée des courants ultraconservateurs et chrétiens fondamentalistes aux États-Unis.
Le Parisien pourrait-il résister aux insinuations perfides, aux calomnies doucereuses, aux médisances pleines d’éloges, aux dénégations naïves qui allaient constamment tourner autour de lui pour le trompé ?
Et il n’y a pas d’autre explication possible à ce qui se passe aujourd’hui, le reste n’est qu’abominables passions politiques et religieuses, que torrent débordé de calomnies et d’injures.
Comme si, dans la médisance, il n'y avait pas de mensonge, alors que la calomnie invente, fabrique des actions imaginaires et imaginées pour faire du mal à quelqu'un.
Le lecteur a sans doute oublié ce petit homme de lettres, nommé Tanbeau, neveu de l’académicien et futur professeur qui, par ses basses calomnies, semblait chargé d’empoisonner le salon de l’hôtel de La Mole.
Mais elle peut être frappée de façon tout à fait abstraite aussi : on peut être la cible d'attaques verbales, de moqueries, de médisances, de calomnies qui cherchent à vous atteindre.
Et quelles que soient les calomnies, les attaques, en étant toujours à un niveau qui portait la France haut, et qui portait les Français côte à côte et non pas face à face.
En vain le petit Tanbeau fournit à MM. de Luz, de Croisenois, de Caylus deux ou trois calomnies fort adroites et que ces messieurs prirent plaisir à répandre sans trop se rendre compte de la vérité des accusations.