Les groupes ciblés comprenaient les gouvernants, les responsables politiques, les fonctionnaires, le personnel des ministères, les législateurs et les magistrats.
D'après la Convention, les personnes ayant commis le génocide seront punies, «qu'elles soient des gouvernants, des fonctionnaires ou des particuliers» (art. 4).
Toutefois, si les gouvernants peuvent collaborer pour améliorer leurs politiques et redynamiser la croissance, l'impact de ces retombées pourra être atténué, a-t-elle dit.
Alors rien de nouveau dans le rôle du cheveu chez les gouvernants puisque, déjà chez les rois mérovingiens, il était porté long comme symbole de pouvoir et de vitalité.
Et nous qui devons mettre en œuvre les alternatives existantes dès maintenant, à commencer par faire des économies quotidiennes et à mettre la pression sur les gouvernants pour accélérer une transition qui est indispensable.
Les démocraties ne sont évidemment pas épargnées, les gouvernants des sociétés, des régimes démocratiques ont leurs qualités et leurs défauts et donc ils peuvent évidemment être amenés à mentir, à diffuser de fausses nouvelles.
Si on explique trop clairement que nos gouvernants n'auront plus le droit de défendre nos droits sociaux, l'environnement ou même notre santé sous la menace des multinationales les citoyens risqueraient de mal le prendre.