Le règlement tendant à insérer les infractions de terrorisme dans la liste des infractions donnant lieu à saisie ou confiscation est en cours d'élaboration.
Il s'inquiète particulièrement des cas relatés de violence policière à l'encontre de Roms, de rafles et de descentes de police arbitraires dans des campements de Roms.
Le nombre d'incidents liés à la drogue, à la contrebande et à la fausse monnaie augmente tandis que celui des découvertes d'armes illégales est en diminution.
Le Comité demande instamment à l'État partie d'enquêter sur les affaires signalées de violence policière à l'encontre de Roms et de traduire en justice leurs auteurs.
Des pratiques supérieures et des principes directeurs concernant le traitement des dossiers, la confiscation, la saisie des avoirs et l'entraide judiciaire ont également été mis au point.
Le 5 mars, le Gouvernement a dissous la Sudan Social Development Organization, qui fournit des services d'aide juridique aux populations vulnérables au Darfour, et a saisi ses biens.
De même, les descentes opérées dans des boîtes et bars de nuit ont permis une réduction spectaculaire du nombre de victimes de la traite orientées vers des foyers.