M. Fabius a souligné que l'autorisation de survol avait été confirmée dès que les autorités françaises avaient été informées que l'aéronef en question était celui du président Morales.
Puis la Première Guerre Mondiale et donne un coup de boost au développement de l'aviation, d'abord en utilisant les aéronefs comme outil de reconnaissance, mais aussi de chasse et même de bombardement.
Un aéronef survolera la zone dès vendredi, a indiqué le communiqué commun, précisant que des " patrouilles à pied, missions d'hélicoptères de recherches et de brigade nautique" seront également menées.