3.La récupération du mercure par ces dispositifs dépend dans une large mesure des quantités d'halogènes et de carbone non consumé présentes dans les gaz de combustion.
4.Ces derniers, y compris les téléphones portables, contiennent des matières plastiques et des halogènes (chlore et brome) qui, lorsqu'ils brûlent, peuvent provoquer la formation de dioxines et de furannes hautement toxiques et carcinogènes.
5.Lorsque les matériaux traités par fusion contiennent des hydrocarbures, des particules incomplètement brûlées peuvent se dégager, de même que des dioxines et des furanes dans les cas où des halogènes sont également présents.
6.À l'avenir, les concentrations d'ozone dépendront principalement de l'évolution des concentrations d'halogènes dans la stratosphère, et la reconstitution de la couche d'ozone interviendra après que la concentration des halogènes aura atteint son niveau maximal.
7.Une fois grillés les lampes halogènes de ces appareils (12 dollars pièce), une enseignante a tenté d'en acheter de nouvelles auprès de cette filiale espagnole qui a refusé quand elle a su sa nationalité.
8.En général, l'efficacité de ces procédés en termes de retrait de mercure varie de 30 à 85 % selon la proportion de mercure divalent, ce qui est lié à la teneur du charbon en halogènes.
9.Les câbles à gaine de caoutchouc sans halogène peuvent contenir du trihydroxide d'aluminium et du borate de zinc en tant que solutions de remplacement des retardateurs de flammes et incorporer également un polymère d'éthylène et d'acétate de vinyle.
10.Phares d'automobiles à décharge à haute intensité : Les constructeurs automobiles utilisent des phares à décharge à haute intensité (HID) pour certains véhicules de haut de gamme ou de hautes performances, mais de manière générale les automobiles sont équipées de lampes halogènes sans mercure.
11.11.1.2 Les observations et analyses effectuées montrent que le taux de destruction de l'ozone stratosphérique aux latitudes moyennes s'est ralenti au cours des dernières années; toutefois, bien que certains indicateurs révèlent également de telles réductions de l'appauvrissement de la couche d'ozone dans les régions polaires, il n'a pas été possible d'en attribuer la cause de façon sans équivoque à des changements dans les quantités d'halogènes présentes dans la stratosphère (c'est-à-dire à une diminution de l'EESC).