Lui il répondait que si on allait dans la forêt tous les deux, je mourrais en deux secondes parce que je n'avais pas l'habitude de la nature alors que lui si.
Il ne faudrait pas qu'on mette en boîte tous les sons de la nature, de la planète, et qu'après, on se contente de ça, qu'on se dise qu'il n'y a plus besoin d'aller dans la forêt.
Il m'a dit alors, très vite et avec un air gêné, qu'il savait que dans le quartier on m'avait mal jugé parce que j'avais mis ma mère à l'asile, mais il me connaissait et il savait que j'aimais beaucoup maman.